Les Bowers-Floyd ont toujours été une famille très puissante en politique. Ils ont toujours su s’y prendre avec la population, en luttant contre des dossiers actuels et dérangeants. Depuis quelque temps, le gros problème des États-Unis reste l’immigration, de plus en plus importante, et le racisme latent, conduisant à l’exclusion des populations noires qui se regroupent dans certains quartiers de New-York comme Harlem. Russell était prédestiné à rentrer dans le gouvernement comme son père, son grand-père et son arrière grand-père etc… Certains avaient eu des rôles importants alors que d’autres n’avaient eu qu’une petite place qui n’apportait pas grand-chose, au final. Russell était ambitieux … Au point, de croire qu’il aurait pu être président des Etats-Unis. Néanmoins, il n’eut qu’une place de secrétaire d’Etat en faisant de l'immigration son cheval de bataille : Il fallait maîtriser le flux d'immigrants, et ce avant qu'il ne soit trop tard. Russel incarne pour tous la figure du blanc puissant, sachant qu'il est de son devoir de limiter l'influence des populations noires. Il ne cherche pas à comprendre la haine qu'il ressent pour cette personne. Pour lui, c’est une mission qu’il doit accomplir pour être enfin en paix : les noirs ne doivent pas faire partie de l'Amérique ! Cette famille est déjà très influente. Et elle tient à le rester. Ainsi, Russell se devait d’épouser une jeune femme aussi influente et puissante que lui. Ses parents avaient arrangé un mariage avec une certaine Rosemary alors qu’il ne l’avait jamais vu. Mais cela importait peu. Ce qui comptait, c'était le pouvoir, la reconnaissance, et non pas l’amour qu’il aurait pu ressentir pour une quelconque femme. Ainsi, il épousa cette jeune femme lorsqu’il eut vingt-six ans. Aujourd’hui, ils fêtent les 14 années de mariage. On pourrait croire que le couple vit dans un bonheur absolu… Mais, ce n’est qu’une illusion. En effet, Rosemary est prête à tout pour avoir un enfant. Son horloge biologique tourne et pourtant, Russell ne semble pas être très inquiet. Le sujet entraîne souvent de violentes disputes. D'autant que Rosemary, bien que son mari lui soit fidèle, commence doucement à se rebeller contre l’autorité de son époux, très pesante pour elle. Elle aimerait recevoir plus d’attention de la part de Russell, mais lui a bien assez à faire en s'occupant de ses devoirs politiques pour pouvoir accorder un peu plus d'attention à sa femme.
AVIS SUR LE JAZZ ET LES BARS CLANDESTINS ϟ Les musiciens de jazz font généralement partie de cette mauvaise graine en train de s'implanter sur le territoire américain, et cette musique barbare n'est que le reflet de la dégénérescence du pays.
AVIS SUR LA PROHIBITION ϟ C'est probablement une bonne chose. D'autant que les brasseries sont toujours tenues par des Allemands, et il est absurde que ces ennemis s'enrichissent sur leur sol. Après tout, il suffit de se faire constamment inviter chez de riches amis et d'y déguster là les meilleurs alcools de l'année, chacun étant doté d'une autorisation par son médecin.

La Chine et sa grande muraille. Côte Est de ce vaste pays. Tandis que Mao Tse Tung, 3 ans bientôt ', babillait dans le Sud, Yong naissait. 8 décembre 1897. Ses premières années de sa vie se déroula dans une ferme de la ville. Constatant la souplesse incroyable de leur fille, ses parents déménagèrent à Pékin où ils entretinrent une vie précaire, difficile. La famille acheta une ferme et hébergea quelques temps des mafieux influents au sein du gouvernement. Ces hommes mirent en contact la famille et le Cirque de Pékin qui accepta "d'embaucher" la jeune fille ( tout l'argent avait été versé aux parents ). Yong entra donc dans cette "institution à l'âge de 14 ans et n'en ressortit qu'à ses 20 ans, une fois majeure. Elle se mit donc à fréquenter Cheng Feng Zhu, le fils d'un mafieux, qui l'initia au deal et autres choses peu vertueuses pour une femme. Avec l'argent qu'elle récolta, Yong partit aux Etats-Unis afin de pouvoir commencer des études. Elle se fit naturalisée américaine et adopta le prénom Alice. Son expérience dans le Cirque et au sein de la mafia chinoise la poussèrent à toujours vouloir faire mieux, à s'accrocher à ce qu'elle voulait réellement.
AVIS SUR LE JAZZ ET LES BARS CLANDESTINS ϟ Le jazz n'est pas du tout sa musique favorite. Préférant de loin la musique folklorique de son pays natal, elle fait l'impasse sur cette musique qu'elle juge sauvage. En ce qui concerne les bars clandestins, c'est souvent dedans qu'elle se rend pour rencontrer ces hommes peu fréquentables, donc elle est plutôt favorable à leur prolifération.
AVIS SUR LA PROHIBITION ϟ On la voit souvent prétendre qu'elle adulerait la prohibition, et tout et tout. En vérité, elle joue juste le jeu du gouvernement.

Issue d'une famille plutôt aisée, Angus descend tout droit d'une lignée de puissants dirigeants. Son grand-père maternel était le maire d'une petite ville plus que prospère et son grand-père paternel, éminent avocat, était l'un des hommes qui désirait préserver l'esclavagisme et militait activement pour ça. Il fut pourtant l'un des premiers hommes à être tués lors de la guerre de sécession.
Né à Washington, Angus passa la majeure partie de son enfance bercé par une éducation brillante à la maison, par les principes selon lesquels l'esclavagisme aurait dû être préserver, que les gens de couleur ne sont que de la vermine et les "déviants", des gens à supprimer rapidement.
Dans un premier temps, il fut bercé par la musique baroque française qu'il trouvait si envoûtante. Pourtant, ses goûts migrèrent vers la musique classique des pays de l'est ( Allemagne, l'Empire austro-hongrois ). Il entretient alors une relation épistolaire avec Ingrid, une jeune autrichienne d'un an plus jeune. Lorsqu'il eut 21 ans, il fit part de son désir d'épouser Ingrid et planifia son voyage en Autriche. Cependant, sa mère commença à délirer et il annula tout pour s'occuper d'elle.
AVIS SUR LE JAZZ ET LES BARS CLANDESTINS ϟ Le jazz, c'est bien la musique du peuple. Que des pantins dansant dessus, des gens sans aucune conscience. Est-ce que ce sont bien des gens ? Angus se le demande sérieusement. Quant aux bars clandestins, il ne les supporte pas du tout.
AVIS SUR LA PROHIBITION ϟ Ca, c'est bien ! Ca rapporte du fric à l'Etat et donc aux riches, et ils peuvent ravoir les bouteilles en soudoyant un peu.