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Who are you ? feat Archy O'Connell

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MessageSujet: Who are you ? feat Archy O'Connell   Who are you ? feat Archy O'Connell Icon_minitimeVen 6 Jan - 0:07



Who are you, man ?

Bienvenue dans le merveilleux sujet de Maxine J. Calhoun qui va avoir l'honneur d'avoir comme partenaire Archy O'Connell. Actuellement ils font un sujet privé. N’est ce pas merveilleux ? L’histoire se déroule le 31 décembre à 23h alors que la météo est froide, la neige recouvre les rues A présent, il est temps de laisser la parole au créateur du sujet : Le sujet fait suite à la première intrigue, suite à l'arrivée de la police, Max s'enfuit en prenant Archy avec elle :D

crédit © arwene & gentle heart


Autour les verres tintaient, les rires fusaient, la musique rythmait les danses à vive allure, les gens s’amusaient, laissant derrière eux les tracas de la vie quotidienne, tout oublier pendant une soirée, celle du 31 décembre, tourner la page d’une année et espérer que la nouvelle apportera plus de joie. Et c’est justement à la nouvelle année que Max pensait, assise seule au bar sirotant son cocktail, perdue dans ses pensées, elle n’aimait pas cette période de l’année, elle n’arrivait pas à l’apprécier autant que les gens autour d’elle. Pour elle, ce moment lui rappelait bien trop de mauvais souvenirs. Elle se demandait souvent, ce qu’aurait été sa vie, si son petit frère était encore vivant. Elle ne serait pas assise là, seule, mais en train de fêter cette fin d’année avec lui. Une larme roula doucement sur sa joue, à la pensée de cette éventualité, larme qu’elle balaya d’un geste de la main. Elle ne devait pas y penser, elle avait bien trop de soucis en tête en ce moment.

La police qui l’accusait d’un crime qu’elle n’avait absolument pas commis, un mariage prévu avec un homme dont elle n’était pas amoureuse, un poste promis dont elle ne voulait pas vraiment. Comment en était-elle arrivée là ? Elle avait l’impression de ne pas avoir vécu toutes ses années. Comme si elle avait assisté à sa vie de loin, telle une spectatrice, qui n’a pas son mot à dire et doit se contenter de regarder et d’accepter. Elle qui était de nature indépendante, avait la sensation d’être prisonnière d’une cage dorée.

Levant la tête pour regarder autour d’elle, Max se rendit compte qu’elle était seule assise au bar, à l’exception d’un homme assis dans le coin face à elle. L’homme semblait porter un poids énorme sur le dos, elle reconnaissait ce regard, elle l’avait le même parfois. Elle remarqua plusieurs verres vides devant lui, visiblement, lui non plus n’était pas venu à la soirée pour s’amuser. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle se sentit proche de lui, une sorte d’instinct, chose qui ne la trompait jamais. Pourtant elle ne l’avait jamais vu.

Elle voulue s’approcher de lui, lui parler, mais elle n’eut pas le temps. Un cri, puis deux, puis plusieurs, des verres qui se brisent sur le sol, les gens commençaient à s’affoler, à courir partout. Maxine comprit très vite ce qui se passait, avant même d’entendre la voix d’un policier. Elle regrettait encore plus d’être venue à cette soirée. Sans hésiter une seconde, elle prit son sac et se dirigea vers la porte de sortie, elle ne devait surtout pas se retrouver face à la police en ce moment, c’était bien trop risqué pour elle. La porte se situait juste derrière le type ivre qu’elle voulait aborder une minute plus tôt, sans réellement comprendre son propre geste, elle lui saisit le bras, qu’elle passa autour de son cou et l’entraina avec elle par la taille, ce type n’était pas en état, il aurait bien trop de problèmes avec la police. Mais pourquoi l’aider ? Un simple inconnu ? Encore une fois, elle avait juste suivit son instinct.

Ils se retrouvèrent en un rien de temps, dans la petite rue qui passait juste derrière l’établissement, qu’elle connaissait par cœur pour y être venu des centaines de fois. Max pressa le pas autant qu’elle le pouvait avec un homme sur les bras, elle rejoignit le boulevard le plus proche, et héla un taxi dans lequel elle s’engouffra avec l’homme du bar, qui n’avait pas dit un mot depuis le bar. Elle donna une adresse au chauffeur, celle de sa maison, pas celle de ses parents non, la sienne, celle que ses parents lui avait offert pour qu’elle puisse écrire en toute tranquillité, là où elle pourrait réfléchir à la suite des évènements et la voiture s’engagea dans la circulation. Max respira un peu, elle savait que leur fuite lui couterait tôt ou tard, elle ne savait même pas comment allait réagir l’homme ni même si il était dangereux ou pas. Elle ne savait pas du tout dans quoi elle venait de s’embarquer. Tout ce qu’elle savait c’était que fuir avait été pour elle, la seule solution.
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MessageSujet: Re: Who are you ? feat Archy O'Connell   Who are you ? feat Archy O'Connell Icon_minitimeVen 6 Jan - 23:43

    Le mois de Décembre et les fêtes de fin d’année. Probablement la période que le pilote détestait le plus. La période de l’année ou il se sentait le plus seul, et le plus coupé du monde. Cela faisait un peu plus de trois ans que sa femme l’avait quitté, emportée par la maladie. Trois ans que son deuil ne semblait pas se terminer. En voyant les familles s’émerveiller devant la magie de Noël, les parents ayant les bras encombrés de cadeaux pour leurs enfants, Archy se laissait des fois quelques minutes pour rêver. Il se demandait ce qu’aurait bien pu être sa vie si sa femme ne l’avait pas quitté. Peut-être auraient-ils eu un enfant, voire même deux. Peut-être serait-il encore en Géorgie, et non ici, dans la froideur new-yorkaise.

    Assis au coin du bar, le pilote ne prêtait attention à personne. Il ne savait même pas pourquoi il avait mis les pieds dans cette soirée, il n’y connaissait personne. Archy se demandait même pourquoi il n’était pas resté chez lui pour ce réveillon de la Saint-Sylvestre. Malheureusement, l’ancien combattant n’avait pas vraiment d’amis à New-York, du moins, pas d’amis officiels. Quelques connaissances, comme Gabe, le patron du Please Don’t Tell, son repaire clandestin, ou encore Noah, le charpentier qu’il avait engagé sur ce pari fou qu’était de traverser l’Atlantique sans escale, à l’aide d’un prototype qu’il était censé concevoir. Le pilote avait toutefois reçue une invitation de la part d’un de ses anciens frères d’armes, Eugene Jacques Bullard, qui l’avait invité à passer quelques vacances dans la chaleur de la Nouvelle Orléans. Mais sans le sou –Archy dépensait la quasi-totalité de ses économies dans son projet- il avait dû refuser bien malgré lui. Pourtant il restait persuadé que quelques jours dans le Sud lui aurait fait le plus grand bien, et peut-être aurait-il même pu soigner la maladie qui le terrassait petit à petit chaque jour. Il se soignait à l’aide de médicaments bon marché qu’il avait réussi à dégotter, mais le pilote préférait nettement un plat de crevettes mangé face au delta du Mississippi avec une bonne bière bien fraîche dans la douce moiteur d’un hiver louisianais.

    O’Connell releva la tête et observa silencieusement l’assemblée qui fêtait dignement le passage à la nouvelle année. Ils dansaient, riaient et buvaient. Leur bonne humeur ne faisait que l’irriter. Que lui donner une irrésistible envie de s’en aller en courant et de leur claquer la porte au nez. Autrefois, il y a bien longtemps, bien avant la guerre, Archy avait fait partie de ce monde. De cette haute bourgeoise qui dansait et qui profitait de la vie parce qu’elle en avait les moyens. Maintenant, pour vivre de l’autre côté du rideau, ces personnes l’horripilaient. Alors, dans un geste las, il commanda un autre whisky. Maintenant, il se rappelait pourquoi il était venu. La boisson n’y était pas chère, et pour un alcoolique comme lui, le whisky –même frelaté- était un excellent remède contre la solitude et le temps qui file. Comme à chaque nouvel an, il se perdait dans ses pensées. Vers sa femme, vers ses anciens camarades d’armes, dont beaucoup ne sont pas revenus. Même s’il semblait prétendre le contraire, la guerre l’avait marqué et traumatisé à jamais. La nuit, les visages de ses amis tombés le hantait, lui demandant inlassablement pourquoi lui avait survécu, qu’avait-il de plus que les autres. Archy balaya ces souvenirs d’un revers de la main. Le pilote sortit une cigarette avant de l’allumer d’un geste précis, craquant une allumette. Il empestait l’alcool et le tabac froid. Il n’était clairement pas beau à voir.

    Soudain, O’Connell se sentit observé, et à peine eut-il relevé la tête qu’il croisa deux magnifiques yeux verts. Il observa pendant quelques secondes la jeune femme qui lui faisait face, en se demandant s’il ne l’avait pas déjà croisé quelque part, ou s’il ne lui devait pas de l’argent. Toutefois, alors qu’il s’apprêtait à essayer de lui sourire poliment, une cohue et un fracas indescriptibles attirèrent son attention. Des verres se brisaient, les cris fusaient. Et alors que ses yeux cherchèrent la jeune femme qui lui faisait auparavant face, elle avait disparue. Soudainement, il se sentit happé et n’eut d’autre choix que d’obtempérer, récupérant à la hâte les rares objets personnels qu’il avait laissé traîner sur le comptoir. Un bras le soutenait tandis que le sien avait été passé autour du cou de son sauveur qui le traînait à travers les couloirs puis la petite ruelle qui cachait l’établissement privé. L’esprit embrumé par l’alcool, Archy mit du temps à se rendre compte que son sauveur était une sauveuse, et qu’elle n’était rien d’autre que la ravissante jeune femme qui lui faisait face quelques minutes auparavant. Essayant de rassembler ses idées, le pilote se rendit compte qu’il était dans un taxi, en route vers une destination inconnue. Par petits gestes, sa main droite vint fouiller la poche de son manteau à la recherche de la crosse précieuse de son revolver avant de le lâcher quelques secondes plus tard, se sentant stupide …. Timide, il lui lançait quelques regards en coin, impossible de la dévisager entièrement. « Je .. merci. » avait-il simplement dit. Depuis la mort de sa femme, Archy ne savait plus y faire avec la gente féminine. « Archy .. Archy O’Connell .. » poursuit-il en tendant sa main, essayant vainement de sourire ….

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MessageSujet: Re: Who are you ? feat Archy O'Connell   Who are you ? feat Archy O'Connell Icon_minitimeSam 21 Jan - 21:47

Max respira profondément, elle devait retrouver son calme, pour pouvoir réfléchir. Mais elle se sentait fatiguée, vidée de toute force, incapable de prendre une décision sensée, elle décida de fermer les yeux un instant, pour le moment, elle ne pouvait pas faire grand chose, elle sera plus apte à réfléchir chez elle.
L'homme assis à ses côtés bougea un instant, cherchant un objet dans sa poche, puis ressortit sa main vide. Elle l'observa du coin de l'oeil, tentant de savoir si il était dangereux ou pas, mais elle savait que non, elle en était persuadée, son instinct ne la trompait jamais. Malgré elle ne savait pas comment il réagirait, ni même si son acte n'allait pas se retourner contre elle, pourtant elle ne regrettait pas son geste, elle lui avait très certainement sauvé la mise.

L'homme bougea à nouveau.

« Je... merci. » Max se sentit soulagé, l'homme ne lui en voulait pas, il la remerciait même. Cela représentait un soucis en moins pour elle, ce qui n'était pas négligeable. Mais elle hésitait encore, devait-elle le ramener chez lui ? Ou bien chez elle, et ne pas prendre le risque, d'être pris en flagrant délit de fuite. Quelqu'un les avaient peut-être vu partir ensemble, or personne ne connaissaient l'existence de sa maison, à part elle et ses parents et ces derniers ne la dénonceraient jamais !

« Archy... Archy O'Connell » dit doucement son compagnon en tendant la main. Elle se retourna vers lui en souriant, « Maxine Calhoun, enchantée M. O'Connell », elle répondit à sa poignée de main en continuant de sourire, elle savait garder son sang froid quand il le fallait.

Le taxi se rangea sur le trottoir devant l'immense portail en pierre, tout au bout de la rue.
Max fouilla dans son sac, pour payer le chauffeur, ce dernier vint lui ouvrir la porte, après l'avoir remercier, et s'être assuré que Archy tenait debout et la suivait, elle se dirigea vers les buissons qui entouraient la propriété et où se trouvait une porte, qu'elle déverrouilla, ouvrit, et entra à l'intérieur de son jardin. « Je vous en prie » elle laissa M. O'Connell passer et referma la porte à clé.
Ils remontèrent l'allée qui menait à la demeure et ils pénétrèrent dans la maison plongée dans le noir, silencieuse.

Maxine alluma les lumières et retira son manteau, invitant son invité à se mettre à l'aise.
« Bienvenue chez moi M. O'Connell, je vous offre un verre » Elle se rendit soudain compte de sa bêtise et éclata d'un rire nerveux. « Je suis désolé, veuillez me pardonner, la soirée a été longue. Je pense qu'un café serait plus approprié. Je reviens.» Elle se dirigea dans la cuisine, lançant Archy dans le salon.

ps: désolé c'est court mais je ne voulais pas te faire attendre bril
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MessageSujet: Re: Who are you ? feat Archy O'Connell   Who are you ? feat Archy O'Connell Icon_minitimeMer 25 Jan - 19:20

    Le reste du voyage fut plutôt silencieux. Le pilote, perdu dans ses pensées, ne chercha même pas à faire la conversation, quitte à rendre le périple encore plus pénible et gênant qu’il ne l’était déjà. D’une part, il ne savait pas quoi dire à cette inconnue qui lui avait sauvé la mise, et d’autre part, son état ne lui permettait pas pour l’instant de tenir une conversation civilisée avec une dame de ce rang. Oui, de ce rang, car vu ce qu’elle portait, il semblait clair pour O’Connell que la femme qui lui faisait face n’était pas couturière, ou ouvrière dans une manufacture quelconque. Archy se laissa porter par le voyage, contemplant le paysage des rues new yorkaises sous la lueur blafarde de ses lampadaires. Lorsque le taxi arriva dans l’Upper East Side, le regard du pilote allait de demeure en demeure, peu avant que le véhicule ne s’arrête devant le portail devant une belle demeure. Mordu par le froid, l’ancien combattant ne put laisser un juron d’admiration quitter ses lèvres devant la splendeur de la maison.

    Toujours dans ce silence qui semblait caractériser leur relation naissante, O’Connell suivait la jeune femme, marchant littéralement dans ses pas. Son esprit encore embrumé par les vapeurs d’alcool se demandait ce qu’il faisait encore avec elle. Pourquoi ne l’avait-elle pas déposé au coin d’une rue en le jetant de son taxi ? Après tout, cet ivrogne n’aurait eu que ce qu’il méritait… Pourquoi l’avait-elle ramené chez elle ? Pourquoi avait-elle pris ce risque ? Alors qu’il se sentait dessouler, du moins légèrement plus lucide, une foule de questions se bousculaient dans son esprit. Les mains derrière le dos, le pilote remontait l’allée de gravier pour pénétrer dans la maison noire, et extrêmement silencieuse. Une fois à l’intérieure, son hôtesse l’invita à se mettre à l’aise et c’est ce qu’il fit, prenant soin d’enlever son manteau méticuleusement, avant de l’accrocher à un porte-manteau. Ce n’est que lorsqu’elle lui adressa la parole qu’il lui sourit poliment, avant d’ajouter d’une manière presque timide : « Avec plaisir, merci. »

    Attendant que Maxine ne prépare le café et ne revienne dans le salon, Archy traversait ce dernier de long en large, laissant sa main traîner sur les couvertures des livres rangés dans l’impressionnante bibliothèque. Il reconnaissait certains des ouvrages, pour les avoir lu et étudier, et cela ne faisait que lui rappeler que lui aussi, il fut un temps, fut de ce monde là. Mais trop d’années étaient passées, et bien qu’il lui subsistait des restes, le pilote se sentait complètement étranger à la jeune femme et à sa situation, alors qu’il pourrait au même moment en profiter dans le manoir familial de Géorgie. Ses yeux fouillaient de fond en comble le salon, alors que ses questions reprenaient le dessus dans son esprit. Que lui voulait-elle exactement ? Pourquoi était-il ici ? Archy avait suivi cette femme jusque chez elle sans poser de questions, envoûté par le mystère qui entourait Maxine. Désormais, c’était la curiosité qui le poussait à aller plus loin, et pourquoi pas à casser certaines des barrières qu’il s’était construit autour de lui et de sa personnalité pour en comprendre davantage sur cette situation. Comment se faisait-il qu’une femme comme elle vivait encore seule, d’autant plus dans l’Upper East Side ? Il ne lui semblait pas avoir remarqué d’alliance au doigt de Maxine, et Archy n’avait vu de photos représentant un mari peut-être disparu ou décédé. Le pilote désirait lui parler, désirait lui poser toutes ces questions pour éclaircir ce mystère qui faisait son charme. Mais il était certainement trop timide et réservé pour se permettre d’être aussi familier. Surtout lors d’une première rencontre. Et puis il pouvait tout aussi bien se tromper sur toute la ligne. Peut-être que la jeune femme avait uniquement fait tout ceci par bonté de cœur et par charité chrétienne.

    Interrompant ses pensées, c’est le moment que Maxine choisit pour revenir dans le salon, un plateau dans les mains. Aussitôt, Archy s’avança vers elle, lui prenant le plateau des mains. « Laissez-moi vous aider, je vais le faire .. »lui assura-t-il d’un sourire, avant de la laisser ouvrir la marche vers le centre du salon, s’installant dans un des fauteuils. O’Connell posa le plateau au milieu de la table, avant de lui servir une tasse de café, la lui tendant ensuite d’une main tremblante. Le pilote s’installa confortablement avant de saisir sa tasse, trempant aussitôt ses lèvres dans le délicieux liquide brûlant. « Ecoutez, Miss Calhoun .. je ne sais comment vous remercier. Si c’est de l’argent que vous désirez, je regrette, je n’ai pas grand-chose .. »*Espèce d’idiot, tu crois vraiment qu’elle a besoin d’argent ?* Archy reposa sa tasse, plantant son regard acéré dans les incroyables yeux de Maxine. « Toutefois, pour m’avoir sorti de ce pétrin, je reste vôtre obligé, Miss Calhoun. »

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