Sujet: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 17:33
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mai octavie wieland
passe ton doigt là sur ta tempe, touche l’enfance de tes yeux.
INVENTÉ POSTE-VACANT SCÉNARIO
ÂGE ϟ trente ans. SURNOM ϟ octa, l'allemande, elle. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ϟ trois novembre, berlin. EMPLOI ET OCCUPATIONS ϟ écrivain pour adultes, noctambule amoureuse de son ombre. SITUATION FAMILIALE ET AMOUREUSE ϟ fille d'une famille aisée restée en allemagne, femme d'un homme mort à la guerre. FORCES ϟ timidité, belle plante, jolies mains, allemande, amoureuse, solitaire. FAIBLESSES ϟ froide, tourmentée, rêveuse, amoureuse. PEURS LES PLUS SOMBRES ϟ la foule, le monde, les gens. tomber sans pouvoir se relever. RÊVES POUR LE FUTUR ϟ devenir étrangère. SIGNES PARTICULIERS ϟ tendance lunatique, fort accent allemand, préfère parler en vers qu'en prose, n'accepte pas la mort de son mari et le transforme en ami imaginaire qui la poursuit quoi qu'elle décide. TRAITS DE CARACTÈRE ϟ perdue, triste, sensuelle, mélancolique, désirée, artiste, réservée, poète, réfléchie, courageuse. GROUPE ϟ jazz.
crédit madeeplies & tumblr
and all that jazz
la nuit plus longtemps nous va mieux.
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Tandis que je parlais le langage des vers, elle s’est doucement tendrement endormie. Comme une maison d’ombre au creux de notre vie, une lampe baissée au cœur des myrrhes verts, sa joue a retrouvé le printemps du repos. Ô corps sans poids posé dans un songe de toile, ciel formé de ses yeux à l’heure des étoiles, un jeune sang l’habite au couvert de sa peau. La voila qui reprend le versant de ses fables, dieu sait obéissant à quels lointains signaux, et c’est toujours le bal la neige les traîneaux. Elle a rejoint la nuit dans ses bras adorables. Je vois sa main bouger sa bouche et je me dis qu’elle reste pareille aux marches du silence, qui m’échappe pourtant de toute son enfance, dans ce pays secret à mes pas interdit. Je te supplie amour au nom de nous ensemble, de ma suppliciante et folle jalousie, ne t’en va pas trop loin sur la pente choisie, je suis auprès de toi comme un saule qui tremble. J’ai peur éperdument du sommeil de tes yeux, je me ronge le cœur de ce cœur que j’écoute. Amour arrête-toi dans ton rêve et ta route, rends-moi ta conscience et mon mal merveilleux. - Louis Aragon.
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Triste parce qu’il le faut, rêveuse sans trop l’être, terre à terre pour le bien être. Sereine quant au futur mais anxieuse des fantômes du passé, poète puisque tu ne comprends pas mes mots. Amoureuse d’un autre, puis de toi, puis d’encore un autre. Méritante pour elle et pour eux. Courageuse s’il le faut, téméraire bien moins n’en faut. La pluie je l’aime, elle me rappelle la mer. Hésitante ça m’arrive, tendre même passionnée, peureuse d’abandonner, nourrie de ton succès. Fantôme abandonné sur le quai de nos baisers, la vie l’effrite, le temps la forge. Forte de valeurs et valeureuse de timidité. Fille simple, ombre sans ombre, laissée paumée dans le coin d’un café.
Ladies ans gentlemen, nous avons aujourd'hui le plaisir d'accueillir Mai Octavia Wieland ! Bonjour et bienvenue sur la radio AT&T's, nous avons préparé quelques questions pour vous. Premièrement, tout le monde aimerait savoir ce que vous pensez des bars clandestins et du jazz, ne vous inquiétez pas, ça ne sortira pas d'ici ! « Le jazz m'amuse. Les danseurs m'épatent. Quand aux bars clandestins, je ne saurais quoi répondre. » Oh, je vois... Ainsi, votre avis concernant la Prohibition ... « Je ne suis ni pour ni contre. » Oh ! Dans ce cas, buvez-vous de l'alcool ?« Je ne pourrais vous dire non, j'apprécie les verres bien tassés posés calmement contre la main d'un étranger. » Personne ne vous juge, ne vous inquiétez pas. Et, dites-nous, New York, en un mot, c'est quoi pour vous ?« L'horreur. Le monde. Le monde, puis l'horreur. » Comme je vous comprends ! Pourriez-vous donc nous donner votre point de vue sur l'époque que nous vivons ?« Nous ne vivons pas une époque, c'est l'époque qui nous vit. Nous sommes l'époque, la jeunesse retrouvée, les soirées enthousiastes au bruit des talons des chanteuses. Nous sommes les ruelles sombres de nos baisers, l'alcool et la fumée des cigarettes, nos yeux plein de lumières qui oscillent au rythme des liasses de billets. La décadence contrôlée. L'amour, puis presque la liberté. » Et bien, je vous remercie pour cette interview plus que constructive, je vous laisse passer dans la seconde salle pour un moment plus intime avec nos auditeurs.
Et maintenant, vous voici de l'autre côté du rideau mwahaha ! Parce qu'on adore les endives jambon, dis-nous de quelle couleur tu préfères tes chaussettes mon pote ! « Je déteste les chaussettes. » Ohoho, c'est le Père Noël ! Et à part lui, c'est qui ton modèle sur Terre ?« Ma mère. Elle nous a élevés comme des rois, je ne pourrais aimer personne comme elle nous a aimer, l'éducation est l'étape décisive à la construction d'une vie. Mes parents m'ont inculqués les valeurs qui me sont maintenant chères. » Oui non mais c'est bon, on a compris que tu voulais des cadeaux. Ça ne te suffit pas déjà, tes tartines beurrées tous les matins ? Faut en plus que tu demandes autre chose ? Les jeunes, de nos jours. Bon, alors, parce que je suis vraiment généreux, tu préfères le théâtre, le cinéma, ou le cabaret ?« Le cinéma, les actrices en noir et blanc. » Ben oui, c'est pour t'offrir une place, rohlala. Bon, au monde je suis fixé. Et, dis-moi, où est ton lieu favori dans le monde entier ?« Ma ville d'origine : Berlin. Puis les bras des allemands. » Ohh, charmant ! Donc tu dois aimer la patate douce ! Et, par pure curiosité malsaine, ton morceau préféré de nos Roaring Twenties ! « Mon homme, de Minstinguett. » Oooh, le grimpeeeur ! Et pour terminer cette magnifique et constructive entrevue, dis-nous, le plus important ... Tu aimes le fromage de chèvre ?« J'en raffole. » Merci à toi poto, n'hésite pas à revenir faire un tour par ici !
crédit glass skin, eurydice.
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eurydice.
TON PSEUDO & TON PRÉNOM ϟ eurydice, Morgan. TON ÂGE & SEXE ϟ seize ans, féminin. DÉCOUVERTE DU FORUM & AVIS DESSUS ϟ grâce à bazzart, le contexte est génial. PRÉSENCE DESSUS ϟ le plus souvent possible. CONNAISSANCES ET AVIS SUR LES TWENTIES ϟ période fascinante bien que plutôt méconnue pour ma part. TA CHANSON DE JAZZ ϟ sydney bechet, petite fleur. AVATAR ϟ fg. LA TAILLE DE TON GROS ORTEIL ϟ un mètre et trois centimètres. CODE DU RÈGLEMENT ϟ validé par Evpraksiya. UN DERNIER MOT ϟ marionnette.
crédit n-dia
Dernière édition par Mai Octavie Wieland le Ven 2 Mar - 14:50, édité 25 fois
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 17:35
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histoire
celui qui croyait au ciel, celui qui n’y croyait pas.
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vingt-quatre mai 1918. Le vent souffle, encore et encore. Il fait tant de bruit qu’il m’engloutie, moi et mes pensées. Je m’oublie au rythme des bourrasques. Sur le trottoir, on regarde avec avidité la blonde à la peau blanche et aux lèvres rouges. Je n’ai pas froid, il y a longtemps que je ne ressens plus la chaleur. Seule la pluie me fait chavirer, et j’accueille au creux de mes lèvres des gouttelettes hésitantes du nectar divin. Le ciel est sombre et les klaxons retentissent sur les pavés brillants de la grande ville, de la belle ville. La populaire a revêtit son manteau d’hiver, elle rugit au son du meurtre, sur le flot de l’épouvante elle nourrit son gosier, et trempe ses lèvres dans le sang des condamnés. La fin approche, la rébellion cesse. J’observe le divin spectacle de ma ville en lambeaux. J’ai honte. Et j’en suis fière. Nous sommes partout, nos fiers soldats occupent de la Pologne jusqu’à la Biélorussie, sans oublier l’Ukraine, la Finlande et les pays baltes. On nous ordonne de rester, nous les femmes. Nous devons vivre seules et dépourvues, dans un pays où les hommes partent sans retour. Un allé simple au front qui fait vivre l’arrière. Nous soutenons nos armées puisque nous aimons nos maris. Les idéologies sont mauvaises et le peuple les subit. Je souffre, tu souffres, nous souffrons.
Je porte au doigt notre triple alliance sous ton commandement. Dans ma main gauche, quelques carrés de chocolat pour mon épousé. Je ne suis pas seule. J’ai par le bras l’officier dont je porte la renommée. Il est beau mon soldat, il porte les couleurs de son pays dans son uniforme d’homme aimé. Il est beau mais il pleure. Mon vert-de-gris déglutit. Le système blesse et meurtrit, moi je souris. Sur sa joue puis au creux de son cou. Je tremble mais il l’ignore : nous avons peur en silence. « Tu reviens quand ? »
Vent, pluie, vent.
Des femmes comme moi nous rejoignent. Elles aussi portent un manteau noir et des gants de fourrure. Elles aussi sont accompagnées, et je vois notre regard commun dans le profond des flaques d’eau. En guise de bouée de sauvetage, un homme, grand et brun, fort et blond. Un homme droit mais faible. Un homme qui répond à l’appel. Un homme qui m’abandonne. Ils parlent ma langue mais je n’entends que les sanglots des futurs fusillés. On parle très peu des combats, mon imagination me raconte ce qu’on oublie et alors mes peurs se décuplent. Le vent terrible qui soulève la tempête. J’aurais aimé ne jamais l’avoir laissé partir. De grands camions vides arrivent soudainement et soulèvent nos jupes de femmes anxieuses. On lève les yeux pour ne voir que les munitions de guerre. Un par un, ils sont appelés. Du premier jusqu’au dernier. Puis vient son tour qui devient le mien. Elles hurlent, je me tais. Il me sent faiblir et me prend par les poignets, mais il ne dit rien, et dans son regard je sais qu’il ne dira plus jamais rien. Mon mari devient muet à mes appels au secours, il observe la décadence de mes émotions et son mutisme m’apprend la souffrance. Il est déjà loin, dans son for intérieur, la bataille fait rage.
vingt-sept mai 1918. Le Chemin des Dames. Ludendorff mène l’armée. Le militaire régit du soldat jusqu’à l’officier, le militaire fait rire et saigner. Son offensive est précise, sous une intense préparation d’artillerie, il gagne la partie. Le succès est éclatant. Les Français reculent et nos troupes avancent. C’est la victoire qu’il nous fallait. La bataille se poursuit, et alors nous apercevons, au sein du seizième Régiment royal bavarois d'infanterie de réserve, notre très cher Hitler.
vingt-neuf mai 1918. Une missive du corps de l’armée nationale de mon pays. Mes mains tremblent et le papier glisse sur la table en bois de mon entrée. Trop faible pour la ramasser, je cours jusqu’à ma chambre. Là, je me change. Sa robe préféré : je fais honneur à mon officié. Elle est belle et courte, fleurie de bouquets qu’il ne me donnera pas. Je coiffe mes longs cheveux sans desserrer mon chignon. Je rougis mes lèvres et fait bonne figure face au miroir. Mes mains sont sèches et dures, j’ai trop travaillé, et mon crâne subit encore le profond rouage des mécaniques. Je suis une femme ouvrière amoureuse d’un exilé. La lettre appelle ma détresse, et je fais demi-tour sur mes talons usés.
Je m’assois sur le sol et je regarde la terre dans un soupir exténué. L’enveloppe cachetée révèle une lettre manuscrite. Elle est faite de quatre lignes que j’évite à tout prix.
C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
C’est Arthur qui avait tout organisé. Du premier baiser jusqu’au mariage, tout était prémédité. Il m’a aimée depuis le tout début, de mon premier souffle jusqu’à ma première robe de bal. Nous étions l’un pour l’autre la nuit et le jour. Complets ensemble, vivants parce que nous existions à deux, dans cette même dynamique qui fait que si l’un tombe, l’autre le rejoint. La science exacte de notre amour passionnel. J’ai toujours considéré Arthur comme étant l’homme de ma vie. C’est pour moi un point non négociable, un fait qui régit mes envies. Il était là parce qu’il le devait, et moi je riais de son abandon envers moi. Arthur ou l’arc-en-ciel, l’arc boutant joignant le rêve à la réalité, pont surnaturel qui marie l’impensable au raisonnable. Arthur et son amour, d’une saveur irréelle. Il me correspond, il me complète en tout point et moi-même je ne pouvais qu’idéaliser notre union trop parfaite. C’est avec lui que je me sens bien, avec lui que je suis moi-même, avec lui que j’existe véritablement. A ses côtés, j’ai appris l’affection et le bonheur d’être aimée, le bonheur d’intéresser pour autre chose que son physique. Le plaisir des caresses, des baisers volés, des longs dimanches passés couchés, le plaisir de partager et de donner envie. Envie de toujours plus. L’emprise qu’il exerce sur moi est captivante bien qu’effrayante. C’est une peur agréable, la peur de l’attachement, la peur du besoin de l’autre et de la souffrance causée le jour où l’aimé nous quittera, le jour où le beau, le merveilleux, s’envolera. Une peur existante : la dépendance. Car il n’y a pire drogue que l’amour, pire manque que celui de l’homme aimé.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Je devine les mots sans les connaître. Pour moi, tout est déjà écrit. C’est le noir sur blanc du blanc sur le noir. Mais pourtant je les ignore. J’admire la calligraphie de la signature. Un homme que je ne connais que parce qu’il dirigeait le mien. Je pense au passé mais mes idées sont présentes. Je ne peux m’y résoudre et je ne veux les croire, j’ai mes propres croyances et les miennes sont bien meilleures. Je supplie le lointain de me rembourser son emprunt, qu’il me rende celui que j’ai tant aimé. Et puis je maudis sa faiblesse, sa faiblesse à lui, mon homme qui n’était donc pas à l’abri des balles, celui qui m’a abandonnée et qui m’abandonne encore un peu plus aujourd’hui. Les lignes sont claires et simples, je saisi l’ironie des excuses de cet homme qui a pris le mien pour le livrer au combat, de cet homme qui par la guerre à fait abattre le mien, de cette homme qui crie la mort et infecte le dégout pour un peuple voisin qui n’a finalement rien mérité.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les larmes n’ont plus de saveur et je les regarde tomber comme un condamné voit sa peine s’afficher. Je pleure sur la vie et sur mes espoirs fanés d’amour éternel, sur le bonheur de son existence et sur sa propre réussite. Je pleure les sacrifices en négligeant son abandon, je pleure sur mon futur et sur le sien qui manque terriblement. Je me brise et mes cendres cascadent jusqu’au sol. Je ne suis plus qu’une poupée de chiffon, faite de vieux restes abimés, j’en ai perdu toutes mes couleurs d’antan. Je réalise sans réaliser l’absurdité de la nouvelle annoncée. Je caresse mes joues dans l’espoir de sentir ses mains, je déchire la soie de ma robe pour le faire réagir. Mais personne ne bouge et tout reste rouge. Il y a du sang, il y a des larmes. Et ses blessures pourpres qui tarissent le flot de mon amour éternel. Il y a la peur de demain, la peur d’hier, et la peur de maintenant. Le déséquilibre créé par la chute d’une moitié de corps. Je suis un-demi.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
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Dernière édition par Mai Octavie Wieland le Sam 25 Fév - 18:13, édité 8 fois
E. Gabriel Johnson
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 18:12
Bienvenue miss ♥
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 18:16
Bienvenue copine de prénom ! \o/
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 18:21
Merci beaucoup à vous deux.
S. Maija Pavlov
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 19:20
BIENVENUUE SUR ATJ ! Bon courage pour ta fiche.
C. Evpraksiya-Honor Kniaz
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 19:29
Doutzen, et pis ton pseudo. BIENVENUUUE miss, bon courage pour ta fiche et n'hésite surtout pas si tu as des questions.
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 19:47
Bienvenue~
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 19:49
Décidément, quel accueuil! Merci encore une fois.
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 21:35
Bienvenue
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 22:13
Merci beau brun. Pour les admins, je dois malheureusement partir en vacances de demain jusqu'à jeudi prochain, je ne promets donc pas de pouvoir me connecter avant ce jour, j'aurais malgré tout fini ma fiche avant le délai imparti.
E. Gabriel Johnson
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 22:14
Aucun problème ma douce, bonnes vacances
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 22:15
Les meilleurs de toutes, merci.
S. Maija Pavlov
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Sam 11 Fév - 22:38
Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Dim 12 Fév - 21:13
*Se ramène avec la bague.*
Ma jolie Mai Octavie Wieland... Me ferais-tu l'honneur de devenir ma femme à la place de l'autre crétin qui me sert de mari et qui ne fait que ramener des jolies blondes chez nous ? :D.
*Sort.*
Bonne chance pour ta fiche, ma nouvelle déesse de mes nuits ! (Au passage, je sais pas où tu as trouvé ton gif de profil mais j'en suis dingue ! Doutzen est... La seule femme pour laquelle j'irais jusqu'à me crucifier ! Ok y'a pas trop d'intérêt, m'enfin !)
Invité
Invité
Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Dim 12 Fév - 21:41
*accuse une larme au coin de l’œil droit* La demande en mariage est le meilleur des encouragements. (Doutzen est plutôt jolie je l'admets, mais ta personne peut être utilisée à meilleur escient j'en suis certaine. )
Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide. Jeu 16 Fév - 20:12
LA CITATION DANS TON HISTOIRE, HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN ! *o*.
Ca y est, je suis véritablement dingue de ta personne mon angelot en sucre *o*. Epouses-moi sur le champs, et épouses-moi à nouveau, tous les jours... *o*. *Sort.*
Je flood toujours pas, je commente. C'est différent, sur le principe xD. PS : Je me souviens pas du tout de qui est le poème ni son titre, mais je l'adore xDD. Je l'ai étudié en 5ème xD.
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Sujet: Re: ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide.
ombre parmi les ombres des nocturnes torrides je me perds dans le nombre pour atteindre au sordide.