Sujet: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Ven 20 Jan - 22:38
Esther Lillian Blackwood.
Les chutes du Niagara ne sont jamais que la seconde grosse déception de la lune de miel. O. Wilde.
INVENTÉ POSTE-VACANT SCÉNARIO
ÂGE ϟ 23 ans. SURNOM ϟ Lilly. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ϟ New-York, le 10 Novembre 1900. EMPLOI ET OCCUPATIONS ϟ Dealeuse d'Alcool. Rebelle en défaveur de la Prohibition. SITUATION FAMILIALE ET AMOUREUSE ϟ Famille décédée. Mariée à un trafiquant d'armes New-Yorkais. FORCES ϟ« C'est sans aucun doute le sang froid de Lillian qui fait sa force. Elle est capable de dire n'importe quoi sans jamais s'énerver et en restant maître d'elle-même. De plus, son courage la force à dépasser ses limites et à en vouloir toujours davantage, à voir toujours plus loin. »
Dixit le fameux mari.
FAIBLESSES ϟ« Au fond, il s'agit avant tout d'une femme perdue, qui ne sait pas trop où elle en est. Et elle n'est pas sûre d'avoir fait de très bon choix, dans sa vie. C'est une éternelle indécise. De plus, elle est souvent sujette à une intense tristesse et à des remords. Elle s'en veut beaucoup d'avoir survécu à ses parents, malgré son air fier. »
D'après l'une des amies de Lillian.
PEURS LES PLUS SOMBRES ϟ« Elle pense que je ne le sais pas, mais sa peur la plus profonde et la plus sombre est que sa liberté ne devienne entravée, qu'elle ne puisse plus se mouvoir sans l'accord de quelqu'un. Qu'elle ne puisse plus faire ce qu'elle veut. De plus, elle redoute le fait de devoir vieillir. La jeunesse est son plus fidèle allié. Je sais également qu'elle aimerait qu'on ne soit plus mariés... »
D'après le témoignage de son époux.
RÊVES POUR LE FUTUR ϟ« Le plus grand rêve d'Esther est sans aucun doute de pouvoir un jour tomber réellement amoureuse, comme toute femme. En dehors de ça, elle espère rester riche et jeune pour le restant de ses jours. Et pouvoir rester encore assez éloignée de son mari pour faire ce qu'elle veut. Ses rêves pour le futur sont que sa vie prospère dans ce sens et ne se dégrade pas. Qu'elle continue ainsi. »
Dixit un compagnon de beuverie.
SIGNES PARTICULIERS ϟ « Je ne suis pas autorisée à en parler, donc soyez discrets. Madame Blackwood ne sort jamais sans être maquillée, et je ne sais même pas si Monsieur Blackwood l'a déjà vue sans artifices. Ca m'étonnerait un peu, d'ailleurs. Son visage a gardé ses traits enfantins. Ca lui donne l'air de ne pas savoir où elle est, d'être perdue. Mais ne vous y trompez pas, c'est une femme vile et cruelle ! Elle ne sort jamais sans ses bijoux. Elle apprécie de montrer son statut et sa richesse au Monde entier, et ça en passe par là. J'ai entendu dire et j'ai pu remarquer qu'elle avait une brûlure à l'intérieur de la cuisse gauche. Elle fait au moins 10 centimètres, c'est affolant ! Pour finir... Elle ne sort jamais sans un bâton de nicotine coincé entre les lèvres. J'ai entendu dire qui plus est qu'elle était complètement phobique du feu. Mais ne le répétez pas, je risque mon emploi. »
Témoignage de la femme de ménage de la famille Blackwood.
TRAITS DE CARACTÈRE ϟ« Décrire Esther... Elle est sans aucun doute très mystérieuse. Elle ne révèle que peu de détails sur elle, à moins d'être éméchée. C'est également une joueuse invétérée. Les défis n'ont pas de secrets pour elle et elle les relèvera tous sans sourciller. Séductrice, elle ne se lasse pas de voir les hommes tomber à ses pieds et lui réclamer encore davantage de secondes en sa compagnie. Elle aime qu'on lui fasse la cour. Charismatique, elle sait parfaitement utiliser son corps et sa voix pour faire plancher un avis en sa faveur. Elle attire tout le monde à elle comme des abeilles sur du miel. Néanmoins, c'est une femme extrêmement cruelle qui n'hésitera jamais à se servir des autres pour parvenir à ses fins. Et devoir se salir les mains ne lui fait pas peur. Passionnée, elle aime ce qu'elle fait et y met tout son cœur. De plus, elle est très audacieuse pour une femme et à son époque. Elle aime à renouveler la mode en taillant dans ses vêtements, bien que ce ne soit pas forcément bien vu. Rancunière, elle ne pardonnera pas facilement quelques excès. De plus, à ses yeux, la vengeance est un plat qui se mange froid. Franche, elle ne mâche pas ses mots, d'autant plus lorsque la colère envahit son myocarde. Orgueilleuse, elle se pense invincible. Elle s'en mordra les doigts un jour ou l'autre, mais en attendant, c'est d'un air fier qu'elle affiche sa supériorité évidente.
Pourtant, c'est une femme despotique. Les règles ne sont là que pour être contournées, et elle se complait à le faire dès qu'elle peut. A part ça, elle est fragile et se laisse souvent aller à une certaine tristesse. Seulement, elle ne s'y autorise qu'en étant seule. Elle est également très perdue, ne pensant pas avoir fait que des choix judicieux. Rêveuse, elle aimerait de temps à autres que sa vie soit différente, que son époque évolue davantage. De plus, c'est une véritable marginale qui aime à être différente du reste de la populace. Curieuse, elle s'intéresse à beaucoup de choses et aime à tout savoir, à détenir le dernier mot. Impulsive, il n'est pas dans sa nature de réfléchir à deux fois avant de foncer ni de tourner la langue sept fois entre ses lèvres. Néanmoins, elle reste extrêmement méfiante, n'accordant sa confiance qu'à de très rares personnes. C'est, qui plus est, une femme très égoïste. Seuls ses désirs lui incombent et l'accomplissement de ses envies. Celles des autres lui importent peu. Mais c'est aussi quelqu'un de très coquet, qui adore se préparer et être habillée d'artifices qui mettent sa beauté en valeur. De plus, elle est très gourmande, adorant se gaver de divers mets qui seront agréablement posés contre ses pupilles gustatives. En outre, c'est quelqu'un de très courageux qui n'hésiterait pas à se mettre en péril pour aider les personnes en qui elle tient. Et pour finir, c'est une femme pieuse, dont la vie, bien que pécheresse, est entièrement dicté par les divinités. Mais elle est quelque peu instable psychologiquement. Pourtant, l'on parvient quand même à l'apprécier... Malgré tout ça. »
D'après l'avis d'une amie de longue date.
GROUPE ϟ In the classic way.
crédit Map Of The Problematique, Map Of The Problematique & Tumblr.
and all that jazz
Les drogues sont un défi à l’esprit. J. Morrison.
Bam ! Boum !
Ton corps commença à chuter, tes jambes refusant de répondre aux ordres de ta cervelle douloureuse.
« Mademoiselle Grimm ! Veuillez faire attention à vos pas. Recommencez. »
La voix chevrotante et vieillie par les années de ta professeur résonna jusqu'à tes oreilles. Face contre terre, tu te redressas pour aller frotter tes doigts fins et agiles contre ta cheville, avec une grimace.
« Mais Madame... » « Il n'y a pas de "mais", mademoiselle Grimm ! Debout ! »
Tes joues arborèrent une jolie teinte carmin tandis que tu perdais doucement ton calme. Mais tu obéis, te remettant sur tes deux jambes pour continuer de danser sur la musique classique qui résonnait dans le gramophone. Tes bras menus étaient élevés au dessus de ta tête en un piqué tourné un tantinet plus harmonieux. Cependant, tu retombas une fois encore.
Te crias ta professeur, alors qu'elle te montrait une fois de plus les gestes à effectuer en un mouvement parfait et admirable. Tu ne pus que la regarder faire avec un air ahuri et émerveillé. La danse classique ? Tu détestais ça. Oh oui, c'était beau. Très beau même. Mais tu étais bien plus douée avec tes mains qu'avec tes jambes. La fin de la journée se passa de cette manière, sans relâches, alors que des hématomes se formaient sur tes jambes. Tu n'étais âgée que de cinq ans, et pourtant, tu te sentais déjà maltraitée. Tes parents ne savaient pas tout ce qu'elle te faisait subir. Ce n'était que le Diable en personne.
Une fois la nuit tombée et le cours terminé, tu te rendis dans la petite chapelle adjacente à la grande demeure ornée d'artifices que ta famille possédait. De l'extérieur, la propriété passait pour être trop grande. Trop pour ne contenir que trois personnes. Une dizaine de fenêtres apparaissaient sur la façade avant du bâtiment, une lourde porte en bois sonnant le passage. La chapelle en comparaison était sans prétention. Assez meublée pour ne pas offenser ce Dieu que vous vénériez, mais sans être affriolante et désinvolte. Tu t'agenouillas devant la statue imposante du Christ qui trônait derrière l'autel, tes paupières se refermant sur tes prunelles azurées.
« Bonjour Dieu. Je m'appelle Esther. J'ai cinq ans. Dis-moi... Tu ne pourrais rien faire pour que la madame soit plus gentille ? J'ai mal partout, chaque jour. Elle est méchante avec moi. Trop dure. Il paraît que tu aides les gens. Maman me dit souvent ça. Elle ne veut pas que je vienne ici toute seule parce qu'elle dit que c'est dangereux. Mais tu me protégeras toi, hein ? Enfin si tu ne peux rien faire, ce n'est pas grave... Tu restes très gentil, de ce que maman m'a dit. Et j'aimerais qu'on soit amis. Tu veux bien dis ? T'inquiètes pas, je te demanderai pas toujours des trucs. On peut juste parler si tu veux. »
La naïveté suintait de tes paroles alors que tu fixais de tes grands yeux candides la statue, en l'attente d'une réponse. Elle ne vint jamais. Pourtant, il y eut autre chose. Une explosion retentit, cassant les vitraux qui serpentaient sur les murs, laissant des débris de verres partout autour de ton corps chétif tandis que tu criais. Tu te relevas rapidement, courant dans le froid hivernal. Le spectacle qui s'instaura devant tes yeux te laissa pantoise. Dans tes prunelles brillaient des flammes aux reflets acajous, léchant sans répits cet endroit que tu avais appelé ta maison. Tu te rendis devant le perron, des larmes commençant à briller aux coins de tes yeux alors que tu te rendais compte de ce que cela signifiait. Tu espérais voir tes parents arriver et te serrer contre eux, te dire que ce n'était pas grave. Mais leur silhouette ne se découpa jamais dans ce décor chaotique. Des sirènes retentirent avant que des policiers ne s'occupent de toi. Mais tu étais bien trop inconsciente, tes yeux bleus restant fixés devant toi dans un point invisible. Ce fut le début de la fin.
Lillian adore avoir une cigarette entre les lèvres ★ Elle se rend à la messe une fois par semaine, confessant ses pêchés avant de recommencer, inexorablement ★ Elle se balade souvent avec des lunettes de soleil, ses prunelles azurées étant très fragiles ★ Elle se fiche éperdument de la prospérité du Monde. Après tout, l'on meurt tous un jour ★ Est terrifiée par le feu. Lorsqu'il est présent dans l'âtre, ça ne la dérange pas. Mais même au bout d'une cigarette, elle le craint ★ Elle a toujours été une enfant unique et solitaire ★ Elle est emprunte de regrets ★ Esther ne s'est mariée que par intérêt et ne se gêne pas pour aller voir ailleurs. Tout comme son mari d'ailleurs ★ Est fan de la prohibition, qui lui permet de s'en mettre plein à les poches ★ Adore le jazz et les danses nouvelles, ainsi que les bars clandestins. Elle s'y rend très régulièrement, autant pour le business que pour son plaisir personnel ★ Elle craint par dessus tout de devoir vivre aux crochets de son mari et de devoir rester auprès de lui chaque jour que Dieu fait ★ Elle adore être fortunée et pouvoir se payer des "larbins", tels qu'elle les appelle ★ N'a aucune compassion pour les pauvres et les gens en difficulté, à moins qu'ils n'aient des intérêts à ses yeux ★ Elle adore se gaver de sucreries, malgré le fait que sa ligne soit menacée ★ N'est que très rarement chez elle, cherchant à fuir ses responsabilités ★ Derrière ses airs torves, elle cache en réalité un grand cœur. Mais elle se refuse à le montrer ★ Les fraises sont son pêché mignon ★ Elle s'en veut énormément d'avoir survécu à ses parents, raison pour laquelle sa vie part légèrement en vrille ★ Le flirt est la seule chose qui amuse réellement Lillian ★ Elle adore boire du champagne voire des boissons fortes ★ Elle déteste la pluie et être mouillée ★ Elle craint plus que tout la mort et vit sa vie à fond pour cette raison ★ Elle déteste les enfants, qui lui donneraient presque de l'urticaire ★ Elle est un peu sèche, mais ce n'est que par peur que l'on découvre sa vraie personnalité ★ Aurait adoré avoir un frère ou une sœur ★ A touché un gros héritage à la mort de ses parents mais n'y a jamais touché, par dégoût ★ Adorait le piano, mais est incapable d'y reposer les doigts depuis l'incident.
Ladies ans gentlemen, nous avons aujourd'hui le plaisir d'accueillir Esther Lillian Blackwood ! Bonjour et bienvenue sur la radio AT&T's, nous avons préparé quelques questions pour vous. Premièrement, tout le monde aimerait savoir ce que vous pensez des bars clandestins et du jazz, ne vous inquiétez pas, ça ne sortira pas d'ici ! « A mes yeux, il ne s'agit là que de l'aspect le plus intéressant de New-York. Sans toutes ces inégalités, le monde serait bien fade, vous ne pensez pas ? Et il serait bien trop ennuyeux que l'Alcool soit totalement prohibé. Croyez-moi. » Oh, je vois... Ainsi, votre avis concernant la Prohibition ... « Ce n'est qu'un ramassis d'idioties. Comment veulent-ils cesser toute vente d'alcool ? Je suis certaine qu'ils font pire que mieux. Néanmoins, au vu de mon métier, je ne pourrais que l'adorer. Je me fais un fric monstrueux. » Oh ! Dans ce cas, buvez-vous de l'alcool ?« Vous pensez sérieusement que j'en vends sans y toucher ? Quelle naïveté... Je ne suis pas une pochtronne, mais j'apprécie de tremper mes lèvres dans l'un de ces nectars de temps à autres. » Personne ne vous juge, ne vous inquiétez pas. Et, dites-nous, New York, en un mot, c'est quoi pour vous ?« La ville la plus merveilleuse au Monde. La ville des lumières, celle du rêve, de l'évolution... Je suis certaine que nous serons un jour l'une des puissances les plus en vogue. » Comme je vous comprends ! Pourriez-vous donc nous donner votre point de vue sur l'époque que nous vivons ?« J'apprécie énormément l'époque actuelle. C'est un éternel renouveau, d'éternelles découvertes. Le monde ne fait que changer, et le fait que les femmes soient de plus en plus libres ne peut que m'attirer. » Et bien, je vous remercie pour cette interview plus que constructive, je vous laisse passer dans la seconde salle pour un moment plus intime avec nos auditeurs.
Et maintenant, vous voici de l'autre côté du rideau mwahaha ! Parce qu'on adore les endives jambon, dis-nous de quelle couleur tu préfères tes chaussettes mon pote ! « Roses à poix violets avec des cactus verts et des marsupilamis jaunes à points noirs. J'en ai jamais vu, mais j'adorerai ! » Ohoho, c'est le Père Noël ! Et à part lui, c'est qui ton modèle sur Terre ?« C'est ta maman. A ce qu'il paraît... Non, je vais me taire. » Oui non mais c'est bon, on a compris que tu voulais des cadeaux. Ça ne te suffit pas déjà, tes tartines beurrées tous les matins ? Faut en plus que tu demandes autre chose ? Les jeunes, de nos jours. Bon, alors, parce que je suis vraiment généreux, tu préfères le théâtre, le cinéma, ou le cabaret ?« T'es pas très poli, mais je vais te répondre : LES TROIS ! Allez files, te fais pas prier ! » Ben oui, c'est pour t'offrir une place, rohlala. Bon, au monde je suis fixé. Et, dis-moi, où est ton lieu favori dans le monde entier ?« Là où se trouve ma Clémounette... Héhé. » Ohh, charmant ! Donc tu dois aimer la patate douce ! Et, par pure curiosité malsaine, ton morceau préféré de nos Roaring Twenties ! « Je t'ai déjà dis que c'était Benassi Bross - Rocket in the sky. C'est de la musique futuriste, en fait... Parce que j'suis pas comme tout le monde moi ! » Oooh, le grimpeeeur ! Et pour terminer cette magnifique et constructive entrevue, dis-nous, le plus important ... Tu aimes le fromage de chèvre ?« Ca dépend, si je dis non, Clémence elle me divorce ? » Merci à toi poto, n'hésite pas à revenir faire un tour par ici !
crédit FoX, FoX, FoX & FoX
Peayne.
TON PSEUDO & TON PRÉNOM ϟ Peayne. Margaux pour Clémence seulement... (a). TON ÂGE & SEXE ϟ Le sexe, c'est après le mariage, eh ! J'ai 18 ans d'ici deux mois. DÉCOUVERTE DU FORUM & AVIS DESSUS ϟ Le forum il est fantasmagorique, et je l'ai connu grâce à la jolie Evepraksiya. Et j'ai pas ctrl+c ctrl+v pour le pseudo, eh ! PRÉSENCE DESSUS ϟ Au dessus de qui... ? //ZBAFF !// Tous les jours, parce que j'suis une accro aux forums ! CONNAISSANCES ET AVIS SUR LES TWENTIES ϟ J'y connais fichtrement rien... xD. Mais ça m'a l'air pas mal ! TA CHANSON DE L'ÉPOQUE FAVORITE ϟ Britney Spears - Criminal. Eh ouaiiiiis, ça t'embouche un coin hein?! AVATAR ϟ Evan Rachel Wood, graouh ! LA TAILLE DE TON GROS ORTEIL ϟ Il fait 30 centimètres quand j'suis reposée. Et quand j'suis un peu contente, il fait 15 centimètres. A moins que ce soit l'inverse... ? Hic ! CODE DU RÈGLEMENT ? You (ça commence bien :D.) can (yeah, je can ! :D.) even (là j'trouve rien) marry (ah non moi c'est pas Marie) harry (mais j'sais pas qui c'est celui-là !) UN DERNIER MOT ? Je suis l'ancienne Pearl Pettygrew, mais Clémence (ça aide de "connaître" l'admin... (a).) m'a autorisé à changer, puisque je le sentais pas ! A bientôt mes poussins :D.
crédit Google.
Dernière édition par E. Lillian Blackwood le Dim 22 Jan - 14:23, édité 11 fois
Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Ven 20 Jan - 22:50
histoire
La peur est une brume de sensations. J. Renard.
Shcrack, shcrack.
Le feu crépitait dans l'âtre, tandis que tu le fixais, pensive. Tu te souvenais des évènements ayant peuplé ta vie, les traits vieillis par les années. Oh, loin de moi l'idée de dire que tu étais ridée. Simplement, ta peau de poupon s'était transformé et ton corps avait changé. Tu étais assise à une petite dizaine de mètres de ces flammes perfides et affriolantes qui te terrifiaient tant. Les souvenirs jaillirent par vague.
Tu te souvins des premières années de ta vie, de ce manoir gigantesque dans lequel tu avais vécu pendant quelques trop courtes années. Tu te souvenais de ce rire cristallin et enfantin qui quittait tes lèvres alors que ton père te soulevait dans ses bras musclés, te faisant tournoyer dans les airs. Tu te souvenais également de cet air affable et tellement harmonieux qui jonchait son visage, et des yeux attendris de ta mère. Tout était parfait. Tu étais encore insouciante, trop jeune pour te préoccuper des affaires trop sombres de ce Monde. Le tiens se résumait entre les bras masculins de ton paternel, ou ceux plus doux et plus raffinés de ta mère. De temps à autres, tu étais alimentée de lait, et le reste du temps, tu dormais. Cependant, les choses ne durèrent pas assez longtemps à ton goût. Tu commenças à grandir, et à vouloir te mouvoir. Tes petites jambes encore rondelettes cherchèrent à fouler le sol tapis de parquet, alors que tu tentais de rester en équilibre sur quatre pattes. Tu appris également à parler et y parvins très bien un peu avant ta deuxième année. Et avant d'avoir atteint la troisième, tu marchais déjà sur tes deux pieds, parlant sans cesse d'une voix chantante et mélodieuse. Tu pointais du doigt des éléments et les appelaient par le nom que vous leur donniez. Tout était parfait. Trop, peut-être. Certains philosophes ont déclarés un jour que le bonheur idyllique ne dure jamais. A moins que ce ne fusse d'éternels pessimistes... Mais ils avaient raison.
Tes parents refusèrent que tu te crées un réseau social en allant dans une école. Ils préféraient que tu acquiers des connaissances en restant chez toi, là où ils pouvaient te surveiller. Bien entendu, ton père était souvent absent. Il était le fruit de cette richesse que vous aviez obtenu et se devait de travailler pour qu'elle prospère. Ta mère en revanche était bien trop occupée à faire quelques commérages avec le voisinage pour t'accorder de l'attention. Et pourtant, ils t'aimaient. Mais tu devins rapidement plus proche de ta nourrice que d'eux. Cependant, comment leur en vouloir ? Ils voulaient le meilleur pour toi. Tout ce qu'il y avait de plus beau, de plus coûteux, de plus intéressant. Ils te firent commencer des cours de danse classique, en même temps que des cours de piano. Le second remporta tes faveurs, tandis que tu détestais le premier. Tu étais très habile de tes mains, et trop peu de tes pieds. Les premiers cours dont tu bénéficias en dehors de ces derniers furent plus ludiques, en raison de ton jeune âge. Et ils ne duraient guère longtemps. De plus, ton professeur te donnait également des cours de maintien, t'apprenant à devenir une vraie "lady". Tes parents espéraient que tu épouserais un jeune homme fortuné pour que tu puisses vivre une vie de princesse tout au long de ta vie. S'ils avaient su...
Un beau jour, tout s'arrêta. Une explosion retentit alors que tu te trouvais dans la chapelle appartenant à votre propriété. Tu priais, pour des choses futiles. Tu aurais dû prier pour eux. Âgée de cinq petites années, tu devins orpheline. Les larmes coulaient silencieusement sur tes joues immaculées. Tu eus le temps de recevoir une brûlure au niveau de l'intérieur de la cuisse avant que les médecins et les policiers n'arrivent. Mais tu n'avais pas la force de crier, contre ce destin fatidique ni contre cette douleur qui retentissait dans ton crâne. Tu n'avais plus la force de rien. La fatalité t'avait frappé, alors que tu comprenais que tu étais perdue. Que tu ne les reverrais plus jamais. C'est dans ces cas là où l'on se dit que l'on aurait aimé passer davantage de temps en leur compagnie, leur dire tout le bien que l'on pensait d'eux. Même gamine, tu te rendis compte de toutes ces choses que tu aurais dû leur témoigner. Tu fus ensuite placée dans une famille d'accueil, mais tu t'étais bien trop enfermée dans ton mutisme pour que les premières semaines fussent agréables. Tes "faux-parents" comme tu les appelais mentalement étaient compréhensifs et ne te brusquèrent jamais. Mais quelque chose s'était cassé, brisé, à l'intérieur de toi. Rien ne serait plus pareil. Ce Dieu en lequel tu avais cru t'avait abandonné. Pourtant, tu ne perdais pas la foi, continuant de l'implorer entre des crises de larmes de te rendre ces personnes si chères à ton cœur. Dès que la sonnette de la maisonnée retentissait, tu dévalais les escaliers deux à deux et t'attendais à voir ces visages familiers. Mais ce ne fut jamais eux.
Tu finis par parler à nouveau, te liant rapidement avec cette "nouvelle famille". Tu ne les appelais néanmoins jamais "papa" ou "maman". Ils restaient Doris et William. Des gens pour qui tu appris à ressentir une certaine sympathie malgré les évènements. Ils étaient loin d'être pauvres et tu ne pouvais pas te plaindre de toutes ces attentions dont tu étais la cause. Ils étaient vraiment géniaux avec toi. Mais ça ne changeait rien à ce vide que tu ressentais en ton centre. Tu allas pour la première fois de ta vie à l'école, n'ayant subi aucune lacune réelle. En effet, les décès et les enterrements avaient eu lieu pendant les vacances scolaires. Mais tu eus d'énormes difficultés à te lier. Tu devins totalement phobique des flammes et refusa d'approcher des foyers enflammés. Les professeurs expliquèrent discrètement la situation aux autres élèves qui se montrèrent très attentionnés également envers toi. Mais plus jamais tu ne t'autorisas à verser une larme, encore moins devant eux. Ton caractère se durcit alors que tu te créais une carapace. La souffrance que t'avait généré leur perte ne serait plus jamais ressentie de ta personne, tu t'en fis la promesse. Il fallait donc garder de la distance avec les autres personnes, pour ne plus être touchée. Ta scolarité se passa bien, en dehors de ça. Tu te fis quelques copines, mais jamais tu ne confias tous ces doutes et ces peurs qui t'habitaient. Tu étais heureuse, à ta façon, malgré le peu de sourires qui s'étiraient sur tes lèvres.
Lorsque tu rentrais chez toi, ce n'était que pour mieux travailler et réviser, ne vivant que pour la réussite. Tu voulais devenir comme ton père, en plus féminine. Pouvoir un jour changer les choses et détenir une grande entreprise. Doris t'expliqua plus tard que leur mort n'était due qu'à une fuite de gaz. Une chose bénigne mais qui t'avait gâché la vie. La peur redoubla et tu demandas régulièrement à tes "parents" de faire vérifier ce genre de choses. Tu t'attachas réellement à eux et ne voulais pas qu'ils deviennent poussière eux aussi. Qu'ils t'abandonnent. Ton adolescence fut difficile. Tes "parents" ne te comprenaient pas vraiment, et tu ne voulais que tes défunts géniteurs. Tu lâchas plus ou moins les cours, ne faisant que sortir en fréquentant des jeunes... Peu fréquentables. Tu commenças à fumer quelques substances illicites alors que tu n'étais âgée que de 13 ans, et l'alcool tournait également entre vos mains novices. Tu fis la connaissance de ton premier petit-ami à ce moment là, mais votre relation arriva à son terme rapidement, au vu de ta méfiance et de ton manque d'émotions.
« Esther... Ecoutes. » Avait-il commencé, alors qu'il n'était que de deux ans ton aîné. « Je n'arrive jamais à savoir ce que tu ressens. J'ai l'impression que tu ne tiens pas à moi. De plus, tu es autodestructrice. Je préfère qu'on... En reste là. »
Tels avaient été les mots bafouillés par ce jeune homme aux cheveux coupés à ras du crâne et au charme banal. Tu ne fis qu'hausser les épaules sans un mot, te détournant de lui. Vous n'aviez échangés que quelques brefs baisers, pourtant tu avais vraiment tenu à lui. Mais tu n'avais rien pu faire d'autre que te montrer impassible. La soirée avait continué sans que vous ne vous approchâtes. En ton sein, tu étais ravagée. Il t'abandonnait, lui aussi. Doris, après t'avoir passé un pipot le lendemain matin, te consola lorsque tu lui exprimas les dires de John, ton ancien petit-ami. C'est dans ses bras et en larmes que tu te laissas aller à nouveau, redevenant une fille "normale" bien que caractérielle. Le mois suivant, ce fut extrêmement difficile. Tu n'avais goût à rien, ne mangeant que le strict minimum et encore. Que ta carapace fut fissurée n'était pas de tout repos. Tu cessas de fréquenter ces amis qui te l'avaient fait rencontrer, ne voulant plus croiser son visage. Tu l'avais réellement aimé, malgré tout ce que tu avais pu dire ou faire croire. Le fait d'être ainsi lâchée t'avait écorchée vive. Ton palpitant était étroit, chaque battement te faisant souffrir. Mais tu finis tes années de scolarité avec brio, toute ta concentration étant amenées vers tes études. Tu obtins ton diplôme avec un sourire et devins réellement une femme. Une fois les études terminées, il te fallait te trouver un mari. Tes parents te firent écumer les soirées mondaines à la recherche de l'homme parfait.
Tu la trouvas en la personne de ton mari actuel. Théodore Blackwood. Du jus de fruit était distribué entre les convives, l'alcool étant déjà prohibé. Et tu l'avais renversé par inadvertance. Si ses yeux t'avaient lancés des éclairs, ils s'étaient néanmoins immédiatement adoucis à la vue de ton minois.
« Ce n'est rien voyons, douce demoiselle. »
T'avait-il rétorqué, sa main attrapant la tienne pour qu'il l’amène jusqu'à ses lèvres et qu'il la baise. La musique passait par le gramophone et il ajouta, plongeant ses prunelles chocolatées dans les tiennes.
« Me feriez-vous l'honneur de m'accorder cette danse ? »
Tu avais rougis jusqu'aux oreilles, complètement sous son charme. D'une voix chevrotante et en bafouillant quelque peu, tu avais répondu :
« Avec plaisir, Monsieur. »
Et vous aviez tournoyé ensemble dans la salle, tandis que tu t'accrochais à ses flancs. Votre proximité physique t'avait quelque peu troublée, mais tu n'avais rien laissé paraître. Vous aviez également passé la soirée à discuter de tout et de rien, de lui, de toi, jusqu'à ce qu'il ne te raccompagne jusqu'à ton domicile familial. Et il t'avait embrassé la joue, te proposant d'aller vous promener dans la campagne le lendemain. Les semaines avaient passées, vos rendez-vous s'enchaînant comme du papier à musique. Il était charmant et charmeur. Il était riche, beau, et intelligent. Il possédait son entreprise et n'était pas souvent disponible, mais dès lors qu'il l'était, il t'invitait. Il était d'ailleurs très courtois. Il avait tout pour te plaire, et tu commenças à tomber amoureuse de lui.
Environ un an plus tard, vous vous mariâtes. Les noces furent élégantes et raffinées ainsi que très belles. Vous partîtes en lune de miel le lendemain et consommâtes votre mariage. Il était parfait en tout point. Tu n'étais alors âgée que de 20 ans. Mais au fur et à mesure des semaines, tu redevins la femme froide et hautaine que tu étais à la base. Ton tempérament changea encore, alors que le comportement idéal de Théodore s'étiolait également. Il devint de plus en plus absent, ne restant que de rares moments dans la demeure que vous aviez achetés ensemble. Tu passais tes journées seules à t'occuper comme tu le pouvais, sortant dans les rues, flânant à droite et à gauche. Vous devinrent rapidement des étrangers l'un pour l'autre, malgré les quelques étreintes que vous vous autorisiez encore de temps à autres. Environ deux ans après, tu le suspectas d'avoir une ou plusieurs maîtresses. Il n'était qu'un charmeur invétéré qui se fichait bien de toi. Il t'avait aimé et idolâtré pendant quelques semaines, même quelques années. Mais c'était terminé. Tu appris qu'il n'était pas réellement chef d'une entreprise mais simplement trafiquant d'armes. Ton mariage était bâti sur de l'argent sale. Alors tu décidas de devenir une mafieuse également. De faire en sorte que son intérêt pour toi redevienne aussi fort qu'avant. Tu commenças à dealer de l'alcool un peu partout dans New-York et à enchaîner les conquêtes. Les hommes que tu draguais savaient pertinemment que tu étais mariée, au vu de ton alliance, mais ils s'en fichaient autant que toi.
Les souvenirs se dissipèrent comme une brume, tes prunelles azurées restant fixées sur l'âtre et le crépitement des flammes léchant le bois avec avidité. A présent, tu as 23 ans et vis toujours à New-York. Tu gagnes assez bien ta vie et passe pour une femme imposante mais très attirante. Que Théodore s'inquiète de toi ou pas t'importe peu. Tu ne veux simplement pas qu'il se sépare de toi. Tu ne veux pas passer pour une vieille fille et être bafouée dans ton honneur. Mais au vu de ton métier actuel et de ta réputation dans ce milieu, il ne pourrait pas se passer de toi, tu en es certaine. Ton but ? Qu'il se rende compte à quel point tu peux lui être utile et importante, et qu'il s'en morde les doigts. Votre relation est à présent plus libertine que maritale, mais vous y trouvez chacun votre compte. Tes parents adoptifs sont morts l'année précédente mais tu n'as pas versé une seule larme. Certaines personnes disent que ton cœur est enfermé de glace. Que tu es froide et que tu as une armure épaisse autour de toi. Ils n'ont peut-être pas tort. Une chose est sûre : New-York changera et s'améliorera grâce à toi. Et la Prohibition tombera.
Dernière édition par E. Lillian Blackwood le Dim 22 Jan - 14:24, édité 8 fois
E. Gabriel Johnson
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Ven 20 Jan - 22:57
Alors re-bienvenue ma belle Si je peux me permettre un conseil, le caractère de ton personnage conviendrait bien mieux au groupe Classique Bonne chance pour la suite
C. Evpraksiya-Honor Kniaz
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Ven 20 Jan - 23:10
Rebienvenue officiellement, femme. J'ai hâte d'en savoir plus sur ce personnage.
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Ven 20 Jan - 23:20
Pfiouuuuu Evan ! *-* Bienvenue parmi nous !
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Ven 20 Jan - 23:47
Re-bienvenuuue alors ! En espérant que ce perso-ci soit le bon . Bon couraaage !
Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Sam 21 Jan - 9:39
Merci vous tous ! :D.
Gabriel > J'en avais discuté avec Clémence et on ne savait pas trop toutes les deux xD. Donc y'a pas de soucis, je vais changer pour Classique dans ce cas :).
Ev' > Tu sais déjà quasiment tout, vilaine ! //ZBAFF !// Merci mon amour ! .
Maija > Ce personnage sera le bon, grâce à Evounette :D. Elle m'a beaucoup aidé à la construire donc... \o/. Et elle me plaît déjà ! Surtout que j'ai déjà un lien . (Pis Evan... )
Je devrai avancer davantage dans la journée, puisque j'ai le temps et que j'ai déjà une grosse partie de l'histoire dans la tête :D.
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Sam 21 Jan - 11:18
Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Sam 21 Jan - 17:07
Merci Caerwyn ! Ca aussi c'est un prénom dur à prononcer O_O.
Rosemary > JGL ? O_O. Merci :). Je l'ai choisie parce que je la trouve superbe, qu'elle collait bien au rôle de la femme sans scrupules mais un peu faible au fond et parce que ma Clémou d'amour en est dingue xD.
Evounette > Je savais que tu aimerais :p. Je te connais ! //ZBAFF !//.
Sinon, j'avance doucement mais sûrement dans mon histoire xD. Sauf que ça me touche beaucoup émotionnellement donc j'ai du mal à être rapide, et je veux faire bien. (Pour avoir Clémence pour moi toute seule... )
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Sam 21 Jan - 17:12
je t'avais jamais dit qu'il était mon premier époux, en plus. Le début est prometteur, prends ton temps tu sais, même si j'ai hâte de jouer avec toi ! Oh, et c'est chou qu'elle te touche. ( JGL > Joseph Gordon-Lewitt, alias l'homme de la vie de Rosie. )
Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Dim 22 Jan - 14:03
Je suis devin, tu savais pas ? O_O.
Sinon, vouala, j'ai terminéééé :D. En espérant que ça ira et qu'y'aura pas de soucis de cohérence par rapport à l'époque xD.
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Dim 22 Jan - 14:07
ALOOORS, j'ai pas tout lu mais comme on est en janvier 1924, elle a soit 23 ans, soit elle est née un an avant, et puis il manque le signe particulier. Je vais lire, ça a l'air génial.
Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Dim 22 Jan - 14:26
Evounette > Désolée j'avais écrit le signe particulier et apparemment je l'ai perdu -_-'. Ca m'énerve, j'étais fière en plus xDD. Du coup j'ai réécrit xD. Et désolée aussi pour l'âge, je savais pas si on était au début de l'année ou pas xD.
Rosemary > Han d'accoooord... Dans Inception, oulala *o*.
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Dim 22 Jan - 14:26
MDRR oui... à qui le dis tuuu (a)
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Dim 22 Jan - 17:02
Alors là, je suis .. OHMONDIEU ! C'est tout ce que je peux dire, tu écris divinement bien, c'est incroyable, et le personnage est si bien construit, si intéressant ... Je suis sur les fesses, promis je n'annulerais pas notre mariage. C'est vraiment magnifique, je te valide avec plaisir en espérant un lien de la mort qui tue !
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs. Dim 22 Jan - 17:02
Tu viens d'être validé(e), mais il te reste cependant des choses à faire ! En effet, il faut bien remplir ton profil, tous les champs ( ou le maximum ), et le gif. Ensuite, il est nécessaire d'ouvrir une fiche de lien dans cette catégorie afin de t'intégrer parfaitement au forum, cela te permettra d'avoir des liens avec les autres membres. Si jamais les codes ne sont pas ton fort, il y a des prédéfinis dans ce sujet. Il en va de même pour le sujet des topics. Il est conseillé de surveiller régulièrement les annonces, afin de suivre les intrigues et les animations et participer pleinement au forum. N'oublie pas également de participer au flood, on est là pour se faire plaisir et rencontre aha ! Sans oublier le rp, bien entendu. Allez, file donc danser le Charleston !
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Sujet: Re: Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs.
Lillian Blackwood ► Come on, you are my toy. Here, some drugs.